Le Premier ministre Rose Christiane Ossouka Raponda n’a pas tardé à régir suite à la déclaration du chef de l’Etat, ce 18 octobre 2O2O à l’occasion de la célébration de la première édition de la « journée de l’intégration » dans la CEEAC. Pour elle, Ali Bongo a su apporter les réformes tant attendues qui ont été le déclic au sen de cette communauté.
Très présente dans les réseaux sociaux (Facebook et twitter), Rose Christiane Ossouka Raponda a encore magnifié le rôle décisif que joue le président Ali Bongo. C’est en ces termes, qu’elle a expliqué les propos suivants « (Ali Bongo Ondimba) a mené à son terme la réforme institutionnelle historique de cette organisation sous-régionale, préalable indispensable à davantage d’intégration pour le plus grand bénéfice de nos populations ».
Pour rappel, Ali Bongo Ondimba a porté sur les fonts baptismaux une réforme institutionnelle qui a permis de transformer en profondeur l’architecture de la CEEAC en la dotant d’organes permettant une intégration plus poussée. Adoptée lors du sommet extraordinaire de Libreville en décembre dernier, cette réforme, qualifiée d’historique, a peu à peu été entérinée par les différents parlements nationaux au cours du 1er semestre 2020. De sorte que, depuis juillet, elle entre progressivement en vigueur.
Pour elle, le développement passe d’abord par la stabilité « La paix, la prospérité et la solidarité, pour être durables et fortes, doivent en effet d’abord se concevoir à l’échelle régionale, avant d’être portées au niveau continental et international », a poursuivi le premier ministre gabonais, faisant remarquer que « le président Ali Bongo Ondimba, président en exercice de la CEEAC, l’a(vait) bien compris. »