Le pèle mêle qui secoue la Société Pizo de formulation de Lubrifiants ( Pizolub ) ne sied pas avec la ligne directrice promue par le gouvernement dans la lutte pour la transparence et une gestion efficace que veulent les autorités. Depuis son arrivée à la tête de la société en novembre 2020, le nouveau directeur, Jean Marie Kombe Wora peine à dérouler son plan d’action et les mesures de redressement tant attendu par la salariés. L’État avait pris le glaive et jouer son rôle d’arbitrage.
Alors que la société était à l’agonie à cause d’une mauvaise gestion entraînant sept mois d’arriérées de salaires, le nouveau patron installé a inspiré la confiance. Mais il se heurte à certains collaborateurs de l’ancien directeur qui cherchent vaille que vaille à paralyser la moindre réforme dans la société. Un lourd fardeau qui risque de compromettre le rayonnement de la société génératrice de centaines d’emplois.
Pour rappel, Jean Marie Kombe Wora avait pour objectif de mobiliser tous les collaborateurs au bénéfice d’une économie diversifiée forte, efficace et génératrice d’emplois dignement rémunérés. Cependant à peine arrivé, des mercenaires alliés de Guy-Christian Mavioga entendent saboter les nouvelles stratégies.
Pour rappel, le gouvernement y compris le président de la République et le ministre du pétrole Vincent de Paul Massassa avaient sévi pour remettre de l’ordre à PIZOLUB. Son rôle d’arbitrage avait servi à rendre justice et permettre cette dernière à trouver son lustre d’antan.