Dans une interview accordée à l’agence Ecofin le coordinateur général des affaires présidentielles n’a pas manqué de revenir sur les accusations fantaisistes d’enrichissement illicites dont il a fait l’objet seulement quelques semaines après sa nomination.
Des accusations portées devant les juridictions compétentes par quatres leaders de la société civile proche de Jean Ping notamment Ghislain Malanda président du Mouvement sauvons la République, Marcel Libama président du mouvement Ca suffit comme ça, Georges Mpaga président exécutif du ROLBG et Jean Remy Yama président de la confédération syndicale Dynamique unitaire.
Devant l’incapacité des quatres leaders a apporté la moindre preuve pour étayer leurs accusations le Tribunal s’était vu dans l’obligation de classer sans suite la plainte pour enrichissement illicite qui était en fait basée sur une série de fake-news. Une stratégie visant à affaiblir le tout nouveau membre du cabinet présidentiel avaient soutenu ses proches.
En effet depuis sa nomination en plus de délit de patronyme auquel il est régulièrement soumis le Coordinateur des affaires présidentielles doit faire face à la remise en cause régulière de sa nationalité. « Un procédé qui ne leurre personne » a déclaré le CGAP avant de poursuivre que la remise en cause systématique de la nationalité des membres des hauts cadres était un est un stratagème régulier de l’opposition déjà utilisé en Afrique à l’exemple du Président Ouattara en Cote d’Ivoire dont la nationalité a été remise en cause par ses adversaires politiques dont Marcel Amon Tanoh un collaborateur de 30 ans de ce dernier.
Malgré ces accusations fantaisistes relayées à grands renforts de publication Facebook par des activistes de l’opposition basés en France, le coordinateur général des affaires présidentielles se dit plus préoccupé par le quotidien des gabonais conformément aux missions confiées par la plus haute autorité du Gabon. « Les Gabonais me jugeront sur les résultats, sur les améliorations significatives apportées à leur quotidien et non sur un délit de patronyme que certains, en manque d’arguments, agitent de manière pavlovienne. »