Après s’etre offert les services de Marc Ona Essangui et Mays Mouissi dont les gesticulations devenaient gênante pour la famille Gupta, le groupe singapourien à toujours mis un point d’honneur à se payer le silence de la presse privé. Moyennant finance déguisé en publicité, le groupe singapourien s’est offert le silence du très agité Echos du Nord
Cette stratégie a débuté par la commande d’un rapport sur son impact sociétal aux plus fervents de ses détracteurs, c’est-à dire Marc Ona Essangui et Mays Mouissi. Financé plusieurs dizaines de Millions les deux hommes s’étaient alors dans une recherche effrénée de superlatifs pour vanter les mérites d’une société qu’ils comparent à savant quelques mois encore.
Une belle opération financière qui avait mis en lumière la volatilité des soit disantes convictions des hommes politiques ou intellectuels gabonais de l’opposition.
Afin de s’assurer une certaine tranquillité Olam a fini par conclure le deal du siècle avec une série de médias privés notamment ceux de la très célèbre OPAM dont les membres se vantent de faire et de faire les carrières à coup d’articles ce qui bien entendu est faux. Guy Pierre Biteghe , son président qui tire le diable par la queue chaque mois, l’air hagard et en sueur ne nous démentira pas.
Le deal conclu avec cette presse dont la seule ligne éditoriale est l’invective contre les autorités politique hormis celles qui se plient à leurs exigences, permet à ces derniers de percevoir un pécule contre le relais de toutes les communications institutionnelles d’OLAM, l’affichage publicitaire, un deal qui dure depuis plus de 5 ans.
N’attendez pas de lire du mal d’OLAM les très indépendants Echos du Nord, le Mbandja, la Loupe, ou Gabon media time du jeune Harold Leckat ….La muselière est
De là à dire que OLAM finance la presse qui insulte Ali Bongo la frontière est mince