L’engagement de certains acteurs ( élites, journalistes, et politiques ) du Gabon semble se limiter à ne relayer que les « mauvaises nouvelles » Un rôle d’oiseau de mauvaise augure et de cassandre qui n’honore pas leurs auteurs.
Alors que ces mêmes acteurs se fendent régulièrement en analyses dès que le résultat de leurs supputations peut jeter l’opprobre sur leur pays, ces derniers font preuve d’un silence assourdissant depuis que l’agence de nation Fitch ratings a relevé la note souveraine du Gabon.
Ces acteurs qui semblent guider besoin guider par un besoin méchant de salir leur pays, semble tétanisé depuis quelques jours, attendant avec impatience le classement d’une agence de pacotille sur un sujet de pacotille qui aura le mérite de mettre le Gabon bon dernier.
Comme ce dernier classement de salon selon lequel 75% des habitants du Gabon n’auraient pas confiance aux forces de l’ordre. 75% des gabonais..alors même que les institutions internationales et leurs immenses moyens peinent à lever la moindre statistique sur le pays. Mais quand il faut salir le pays, tout est bon à prendre pour ces intellectuels à l’agenda bien connu.
Que le lecteur ne s’étonne donc pas de ne jamais lire des sujets positifs sur le Gabon dans ces médias dits « indépendants » ainsi se résume la liberté d’expression au Gabon, dire du mal et encore du mal du pays. Pour le moment, entre le rapport du département d’Etat et le relèvement de la note souveraine du pays, les économistes de salon sont au placard.