Ils sont allés au petit matin filmer des carrefours habituellement peu bondés à 6h du matin, puis ils ont envoyé leurs médias partenaires faire des lives Facebook dans des ruelles vides, dans l’espoir de faire croire à une ville morte. Malheureusement pour eux, la population librevilloise dont 99% ne se nourrit pas du fiel déversé à longueur de journée sur Facebook vaque librement à ses occupations dans une ville en pleine ébullition.
Libreville se prépare a sortir de sa torpeur après 2 ans de restriction liée à la crise sanitaire mondiale. Les points de vaccination ne désemplissent pas. Seul ombre au tableau, l’aigreur de soi-disant leaders syndicaux en mal de reconnaissance qui avaient appelé à une ville morte.
Un échec puissant pour ceux qui croient parler au nom des gabonais alors qu’ils n’ont reçu aucun mandat. « Libre a eux de restez chez eux, en tout ças nous on circule, bientôt les fêtes, qui est fou » ?