Dans le microscome politique gabonais, Jean Valentin Leyama est une sorte de sorcier aux idées volatiles, mis au chômage depuis qu’il a été démis de ses fonctions de directeur de cabinet adjoint du Président Ali Bongo, cet ancien député de l’opposition fait feu de tout bois pour exister sur la scène médiatique.
Pourtant Jean Valentin c’est une succession de très bon poste pour un bilan médiocre. Celui qui est présenté par Gabon Media Time comme un fervent anti-pouvoir a été tour à tour directeur général du Fonds d’entretien routier, président du conseil d’administration de l’école de metalurgie de Moanda, directeur de cabinet adjoint de la Présidence.
Des fonctions au sein desquelles en dehors d’un appétit pour la « belle vie » ce tribun des réseaux sociaux n’a laissé aucun vestige d’une quelconque compétence. En effet au tamps des voyages en jet privé, Jean Valentin leyama qui se vantait de maitriser la société civile n’avait cure du sort des populations qu’il prétend défendre aujourd’hui à coup d’intox et de discours de haine.
Depuis quelques mois, il ne passe pas une semaine sans que certains médias nous servent des extrais du discours haineux de Jean Valentin Leyama, le présentant uniquement comme membre du Copil Citoyen, une association politique proche de l’opposition gabonaise qui compte mener des actions de violences en 2023.
Toute chose qui permet à Jean Valentin Leyama, habitué des coups méditique à supporter l’oisiveté dans laquelle il est plongé faute d’un parcours scolaire suffisamment rempli pour chercher un vrai travail.