Au coeur d’une crise diplomatique ouverte entre la France et le Mali, la propagande des médias d’Etats français existent pourtant depuis plusieurs années.
Lors de l’élection présidentielle gabonaise de 2016 elle avait atteint un sommet avec des analyses à charges contre les autorités gabonaises ayant pour objectif de créer un soulèvement populaire.
A coté des médias dirigés par le ministère français des affaires étrangères, les autorités gabonaises ont fait les frais d’autres médias d’influence piloté par des hommes d’affaires que la promesse d’une présidence Jean Ping avait fait miroiter de nouveaux contrats léonin.
Confondus par l’opinion publique gabonaise après avoir néanmoins fait de nombreux dégâts dans les cerveaux, ces derniers sont rentrés en métropole la queue entre les jambes, laissant derrière eux leurs « correspondants » qu’ils avaient relégués durant cette période électorale à la rubrique des chiens écrasés.
Pourtant les voilà de retour, selon nos informations, plusieurs médias français se préparent à solliciter des accréditations auprès des autorités gabonaises. L’objectif est d’être présent sur le terrain et créer les conditions du chaos le moment à la demande de certaines autorités françaises.
Les Gabon se laissera-t-il encore berner par les sourires mielleux des correspondant de Rfi, France24, Le Figaro, TV5 Monde après les risques qu’ont fait courir ces Médias en 2016 aux populations du Gabon.