Contrairement à ce qui était écrit par deux médias à la solde de Brice Laccruche Alihanga et de ses avocats, ce dernier n’est pas à l’article de la mort à la prison centrale de Libreville. L’ancien directeur de cabinet qui purge une première peine de prison pour faux et usage de faux a simplement été pris d’une diarrhée.
Une situation sanitaire mise à profit par ses proches pour ameuter la presse aux ordres pour faire passer BLA pour une victime des conditions carcérales gabonaises dans lesquelles il a envoyé tellement d’innocents quand il était encore le « messager intime » d’Ali Bongo selon la formule créée par Franck NGUEMA un de ses obligés.
Il se raconte que le diagnostic de l’hôpital militaire établissement que le détenu Laccruche Alihanga souffrait de diarrhée n’a pas plus au Consule Générale de France au Gabon, qui a tenté au mépris de la souveraineté des institutions gabonaises d’imposer une contre-visite médicale à Laccruche.
Un véritable manque de respect permis selon certaines sources par le Laxisme de la ministre de la Justice qui a décidé de placer BLA en privilégié. C’est vrai qu’elle lui doit sa nomination.
Alors même que Brice Laccruche Alihanga est juste au début de son calvaire judiciaire, l’Ambassade de France organise déjà la riposte médiatique pour sauver le soldat BLA, des articles de presse pensée pour salir l’image du Gabon ne cesse de pleuvoir depuis plusieurs jours.
Peut-être devons-nous parler des conditions de détention dans plusieurs prisons françaises et savoir si un diplomate gabonais peut se permettre la même insolence en France.