L’insolence des diplomates français au Gabon a pris une ampleur inédite au sortir de la présidentielle de 2016, quand en pleine « crise politique », l’Ambassadeur de France au Gabon se permettait d’aller rendre compte des relations bilatérales à l’opposant Jean Ping du jamais vu. Qualifié de diplomate français le plus médiocre au Gabon, il a été remercié et remplacé par Alexis Lamek, un autre petit fourbe derrière plusieurs manipulations contre les intérêts du Gabon.
Inconnue du grand public qui ne lit son patronyme que sur les lettres de refus de visa, Marguerite Francy DEGARDIN
Conseillère des Affaires étrangères et Consule Générale de France au Gabon, fait partie de cette race de diplomate français en Afrique qui se croit encore à l’époque de l’Afrique Équatoriale française, où le fait d’être Blanc primait sur le reste.
Cette diplomate est en passe de refroidir les relations entre le Gabon et le France à cause de son attitude insolente du côté de la Prison centrale de Libreville, où venue offrir la protection consulaire du désormais ressortissant français Laccruche Alihanga, elle a exigé sans mandat ni autorisation de l’administration judiciaire gabonaise que son protégé soit examiné par un médecin agrée par le Consulat de France.
C’est-à-dire que tous les médecins gabonais qui ont examiné Brice Laccruche et ont conclu que le monsieur souffrait d’une diarrhée sont incompétents. Plus loin, il est quand même rare qu’un Consule exige, une contre-expertise médicale, mais où va le monde ?
Ïl est temps que les autorités gabonaises, sommes les Maliennes avant elles, rappellent aux diplomates français que le Gabon est un état de droit et que la Fonction de Consule de France au Gabon ne place pas dame Degardin au dessus des institutions de la République Gabonaise.