C’est l’ancien Conseiller spécial, Ike Ngouoni qui a dit haut devant les juges ce que tout le monde savait dans le milieu de ce qui est communément appelé « presse locale » certains médias aujourd’hui virulent envers le pouvoir de Libreville ont longtemps émargé dans les cahiers de la présidence pour ne pas « parler du mal du Président de la République ».
Voici donc mis à nu le modèle économique de la presse ordurière et faiseuse de rois de l’opposition gabonaise. Et voici donc qui explique l’acharnement de la bande à Guy Pierre Biteghe, sur les nouveaux dirigeants de la communication présidentielle ? l’Argent ne passe plus comme à l’époque de Ike Ngouoni.
Ce qui met ces écrivaillons dans une colère noire, pourtant tous les millions de Bla n’ont pas permis à certains de se payer une stature, C’est toujours, la chemise en sueur, le regard avide que Guy Pierre Biteghe écument les bureaux des hauts responsables publics pour vendre sa came : « Argent contre la tranquillité »
Ils ont tous crié au scandale, pourtant durant les 2 ans de « pouvoir de l’Ajev » tous ces médias, fort pour relayer aujourd’hui les accusations de Patrichi étaient silencieux sur les actions de BLA. Zéro article à charge contre l’ancien et envahissant Dircab dans aucun de ces médias.
Certains de ces organes qui jouissent de la sympathie de certains organismes internationaux sont pourtant un danger pour le vivre ensemble, tant par la médiocrité de leurs contenus que par la haine viscérale éprouvée par leurs dirigeants envers une partie des Gabonais.